En cette période je manque de temps (et un peu aussi d’inspiration) pour écrire des longs posts sur ce blog, coincée comme je suis entre un travail à 100%, une formation de Master, une procédure de recours en cours et les milles et une petites fatigues du quotidien.
Je vais donc élargir les formats et commencer à publier aussi des choses plus courtes, parce qu’au final c’est mon espace à moi et je fais ce que je veux dessus! (le jour où cette phrase sera complètement vraie je ferais peut-être comme l’écrivain Fulvio Abbate faisait ici)
Ceci dit, voici des trucs intéressants en désordre.
J’ai essayé une recette de poulet au cidre à tomber par terre (mais à la place des échalotes j’ai mis des oignons), et aussi un gâteau trop trop bon.
J’ai aussi découvert qu’une de mes chansons préférées des Rolling Stones (She said yeah) a été enregistrée aussi par Paul McCartney et par les Animals…mais je préfère toujours la version des Rolling Stones.
Il y a deux semaines, je suis aussi allée chez la coiffeuse (dont on taira le nom par discrétion– mais je précise que ce n’était pas le salon Dessange où je vais d’habitude – mea culpa, mea culpa, mea maxima culpa!). Scène très drôle. Elle me fait la coupe entièrement au rasoir (oui oui ça existe); au passage, elle m’a rasé le visage (imaginer ma tête pétrifiée), et qui plus est même pas de façon régulière (imaginer ma tête glacée); mais avant de terminer, elle a fait tomber le rasoir sur son pied, se charcutant le pied (imaginer ma tête horrifiée). Elle a repris avec le même rasoir après l’avoir passé sur une serviette (imaginer ma tête pétrifiée, glacée et horrifiée, en train de prier pour qu’elle ne me coupe pas et d’imaginer ses éventuelles pratiques très privées – “est-t-elle susceptible d’être contaminée par le VIH?!”). Je suis rentrée en une seule pièce. Choquée et mal rasée, mais entière. Ouf!
La semaine passée (une fois que l’effet “léopard” de mon rasage s’était heureusement estompé) on a eu l’occasion de voir que le Parti Démocrate italien s’est cassé la figure aux élections…et on ne va pas se priver du plaisir unique de dire "on vous l’avait dit!”. Petit conseil pour ces politiciens du siècle dernier: amenez les vieilleries à la brocante, les vieillards au home et n’oubliez pas les couleurs, comme chantait Nina Hagen (i.e. les gens veulent de l’espoir…et quitte à choisir, on fait un crédit pour se payer une belle maison, pas un superbe cercueil)!
Enfin, j’ai pu regarder le film “Le prénom”: c’est vraiment très très drôle (et de plus il y a Guillaume de Tonquédec, le Lepic de “Fais pas si fais pas ça”, qui a même gagné un César pour ce rôle et que j’adore). Mérite d’être vu et redonne la bonne humeur. Voici la bande annonce et bonne route!
llora la crisi da "forbice impazzita" dopo seduta da parrucchiere/a pazzo/a non colpisce solo me!! Quando ti accorgi che nel nome della "creatività" questi pazzi ignoranti ti stanno rovinando faccia e capelli con forbici e rasoio bisogna trovare il coraggio di fermarli ed andarsene e dovrebbe entrare nell'uso anche la richiesta di danni materiali e morali!!! La cosa migliore è tenere i capelli a mezza lunghezza , più o meno sempre con lo stesso taglio ed andare, riuscendoci, sempre dalla stessa persona. Chissà poi perchè ti è venuto in mente di cambiare, dato che eri contenta della tua parrucchiera.Spero che a poco a poco la cosa stia migliorando...in effetti un taglio malfatto è come una ferita deturpante, che oltretutto ti mette tanta rabbia perchè hai pure pagato per fartela fare....Per mettermi anch'io di buon umore stavo cercando di ascoltare la canzone ma non si vede nulla, magari provo su youtube. P.S.Considerato che sei piena di cose da fare non devi preoccuparti se non hai voglia di scrivere nel blog, credo che questo vada preso come un piacere e non un obbligo, se no ti soffochi da sola...perciò scrivici quando e solo se ne hai voglia :-). Ciao, bacioni
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