Dans cette première journée de voyage je me suis baladée un petit peu à Delhi. J’ai fait des nombreuses rencontres intéressantes, j’ai acheté un véritable habit indien (photos dans un prochain post) et j’ai mangé des très bons mets à base de poulet et lentilles. Comme vous le savez peut-être, ici les gens mangent presque tout le temps avec les mains: ils mettent les mets sur l’assiette et après ils les recueillent avec une sorte de pain qui ressemble au pain libanais qu’on trouve à la Coop en Suisse ou bien à la spianata sarde ou à la piadina de Romagne.
Plusieurs choses m’ont frappée dans cette ville. La première c’est l’état de la plupart des bâtiments, qui sont souvent délabrés et donnant directement sur la rue (sans trottoir). La deuxième c’est l’état des rues et de la circulation en général, qui est juste épouvantable. Elles sont très peuplées, il y a des gens partout et tout le temps, surtout des hommes; les femmes dans la rue sont une petite minorité. Sur la rue il y a les entrées des boutiques, des charriots qui vendent des fruits, des petites installations où l’on vend à manger, mais aussi des gars qui pissent et des gens couchés par terre en train de dormir.
La rue est aussi le lieu du bruit, un bruit de clacson continu; il est impossible de passer 30 secondes sans entendre quelqu’un qui clacsonne. A vrai dire, il est compréhensible qu’il y ait des coups de clacson, puisque le code de la route est une option et personne ne le suit vraiment. Donc, il y a des voitures littéralement partout, souvent dans des conditions de sécurité pour le moins douteuses (en tout cas étant habitué aux standards de chez nous): des gens traversent (ou au moins essaient de le faire: moi-même j’ai traversé la route dans des conditions pour le moins prohibitives – on aurait dit des morceaux d’autoroute!!!), des vélos passent, des autos se surpassent, à droite, à gauche. Dans tout cela, les automobilistes jonglent, dribblent et…clacsonnent!
Un élément très particulier des routes de Delhi ce sont des petites voiturettes, comme des Ape Piaggio, qui en faite sont des taxis. Bien évidemment, là aussi il n’y a aucune sécurité, même pas des portes pour rentrer…en faite on s’assoit et on va, un peu comme au Luna Park. Voici un exemplaire de ces merveilles (la jambe qu’on voit à l’arrière est celle du passager):
Le dernier élément lié aux voitures et aux autres divers moyens de locomotion similaires: la pollution. Il y a, surtout le soir, une espèce de léger voile douçâtre qui tombe sur la ville et qui enflamme les gorges; quand j’ai commencé à tousser, j’ai réalisé pourquoi des nombreux conducteurs de ces “taxis-ApePiaggio” se couvrent la bouche avec un mouchoir pendant leur travail.
Heureusement, cependant, il y a aussi des progrès en matière de transports. Par exemple le tout nouveau métro, super moderne et très propre et fonctionnel, que j’ai pris cet après-midi:
Avant d’y rentrer, on remarquera quand même les contrôles de sécurité, y inclus la perquisition personnelle et des affaires. C’est très frappant comme la ville soit remplie de police, policiers et militaires et comme les contrôles de sécurité soient omniprésents.
Sur cela, je termine pour aujourd’hui. Bonne nuit et bonne route!
E' sconvolgente pensare che ti è venuta la tosse per un giorno! Milioni di persone che trascorrono i loro giorni così! Dov'è l'OMS? E poi mi hanno colpito i visi di quelle persone in metropolitana,si son fatti fotografare tranquillamente! I taxi tipo ape piaggio sono curiosissime, "circola aria" e si risparmia sugli spazi, così non si usa un mezzo grande per una sola persona.
RépondreSupprimerA domani, ciao, buonanotte